
Hauptstadt: Stadtstaat!
Gegründet: 1949
Französische Blasonierung:
Armes:
De gueules au château d’argent, issant de la pointe, crénelé de 7 pièces à trois tours. La tour du milieu plus élevée, couronnée par une coupole et une croix, les deux tours aux extrémités, crénélés de 4 pièces et surmontés par une étoile à 6 rais, également d’argent.
Offizielle Wappenbeschreibung
Das Wappen des Landes (Stadtstaat), wie auch die Flagge und die Landesfarben weiß-rot sind in der Verfassung Hamburgs (Artikel 5) festgelegt.
In Rot eine hervorkommende silberne Burg mit geschlossenem Rundbogentor, auf dem Zinnenkranz mit sieben Zinnen drei Türme, die beiden Äußeren vierfach gezinnt und von je einem sechszackigen silbernen Stern überhöht, der mittlere großer mit Kuppel, darauf ein Knauf und ein Kreuz.
Quelle:
http://de.wikipedia.org/wiki/Landeswappen_Hamburgs
http://pro-heraldica.de/blog/wappen-hamburg/

Armes:
Un léopard lion né, la queue fourchue et passée en sautoir, issant en pointe du flanc sénestre.
Sources du Dr. Loutsch:
(Reinach no 831 Arch. Arlon, Guirsch).
Sceaux de Thielman Vourman, cellerier d’Arlon, 1388, et de Thilman, fils du vieux Vourman, échevin d’Arlon, 13-VIII-1396 et 18-V-1400.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 797

Armes:
Une fasce accompagnée en chef d’un plant feuillé en pal, accosté de deux grappes de raisin renversées, tigées et feuillées, les trois tiges issant de la fasce, en pointe des lettres I et V. accompagnées de trois étoiles.
Sources du Dr. Loutsch:
(Arch. Lux. XXIX).
Sceau de Jean Veltens, échevin de Remich, 7-11-1623.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 783

Armes:
Trois fleurs tigées et feuillées (de luzerne ou chardon), les tiges réunies en bas et issant d’une terrasse, celle du milieu sommée d’un oiseau accosté de deux étoiles renversées.
Sources du Dr. Loutsch:
(Arch. St. Jean, no 520).
Sceau de Claus de Venst, échevin de Luxembourg, 8-V111-1553.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 784

La plus importante [brisure] est celle de Godefroy de W., qui ajoute en 1366 (…) en 1374 au même endroit [au chef à dextre] une aigle issante du coupé.
Armes:
[D’or au chef de gueules.] à dextre [du chef] une aigle issante du coupé. (-sic-)
Sources du Dr. Loutsch:
(S.A.R. IV, P. 252).
Cette aigle ne peut que signifier que sa mère appartenant à la maison de Cronenbourg, comme l’a si bien démontré Walther Möller dans son étude: «Ein Beitrag zur Genealogie der Grafen von Vianden und zur Vererbung von der Neuerburg», dans: Annuaire de la Société Héraldique luxembourgeoise, no 3, 1950, P. 42.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 822

Armes:
Coupé, en chef d’argent à une femme de carnation issante, la tête tortillée de sinople et tenant un anneau de la main gauche, en pointe d’argent à quatre barres de gueules.
Sources du Dr. Loutsch:
(Petit: Épitaphes et mémoriaux de la Gaume, le Pays Gaumais, 9e année, 1948, P. 8, repris par Bourguignon: Annales d’Arlon, 1969. On peut se demander si cette dernière description ne repose pas sur une erreur).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 426

Armes:
Coupé d’azur, sur un mur crénelé d’argent maçonné de sable, l’azur chargé d’un Turc issant mouvant du mur, tenant de la dextre un cimeterre d’argent, de la sénestre un bouclier rectangulaire de gueules à la fasce d’argent.
Casque couronné.
Cimier:
Le turc issant.
Sources du Dr. Loutsch:
(Ancien Siebmacher, édition 1699, IV, P. 184/R., avec variantes pour une branche allemande).
Famille originaire de Villach, anciennement Türk ou Türgg von und zu Eisentratten, qui aurait été anoblie en 1574, maîtres de forge en Carinthie. Une branche qui laissa tomber les prédicats nobiliaires à la fin du XVIIIe se fixa successivement à Fulda, puis à Francfort, enfin à Luxembourg au milieu du XIXe siècle, où elle s’illustra dans la banque. Voir Georg BrolL: Aus Gmünds vergangenen Tagen, vol. 2, Gmünd 1936, P. 169: Die Türgg v. und zu Eisentratten.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 773

Armes:
Un cerf issant du flanc sénestre de la pointe.
Sources du Dr. Loutsch:
(Arch. Arlon, Guirsch/Arch. St. Jean no 400).
Sceaux de Pierre de Touerait, échevin d’Arlon, 8-VI-1484 et 28-XII-1516.
Il semble bien y avoir deux familles échevinales d’Arlon, originaires de Tottert, puisqu’elles se sont alliées entre elles. Voir O.H. 1927, P. 221.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 768

Armes:
Parti, au I d’argent au moine au naturel, au II d’argent au mont de trois coupeaux d’azur, issant en bande de la partition, chaque coupeau surmonté d’un sapin au naturel, en chef un lambel de gueules (?).
[Idem, au I le moine seul, sans tourteaux.]
(M.W./L. Wirion: la famille Munchen, op. cit. infra).
Sur cette famille d’ancienne bourgeoisie luxembourgeoise, voir L. Wirion: La famille Munchen, Biographie Nationale, 2e fascicule, 1949, pp. 390-447.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 597

Armes:
Parti, au I d’argent au moine au naturel accompagné de onze tourteaux de gueules (?), au II d’argent au mont de trois coupeaux d’azur, issant en bande de la partition, chaque coupeau surmonté d’un sapin au naturel, en chef un lambel de gueules (?).
Sources du Dr. Loutsch:
(Archives de famille, communiquées par M. Paul Munchen, chaise sculptée aux armes du XIXe siècle, chevalières armoriées).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 597