Vauthier

Armes:


d’azur à l’écusson d’argent chargé d’un lion de gueules, accompagné à dextre d’une main de carnation (vêtue, mouvant du flanc) tenant une branche de laurier montant et passant en fasce au-dessus de l’écusson, sur laquelle est perchée une merlette au point du chef, le tout de sinople, accompagné à sénestre d’une étoile d’or, et en pointe de deux épées d’argent garnies d’or, en sautoir, les pointes en bas.

Cimier:

Le lion de l’écu, issant .

Devise:

  • RESPICE FINEM.
  • Ou: FORTITER ET CAUPE.

Sources du Dr. Loutsch:

( K. /N. /Arch. Lux. Sect. Hist. VI, liasse 354, correspondance: cachet de N. de Vauthier, habitant Laroche, 6-XII-1745).
Famille d’Orchimont. Voir Marcel Bourguignon: Les derniers prévôts d’Orchimont, Annales d’Arlon, t. XCVII, 1966. Le 13 septembre 1817 reconnaissance de noblesse à Antoine-Joseph Nepomucène de Vauthier de Baillamont, inscrit dans l’Ordre Équestre de Namur, avec titre personnel de baron, et à André-Joseph-Allard de Vauthier de Baillamont, inscrit dans l’Ordre Équestre du Luxembourg.

Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 782

Colnet d’Huart

Armes:


Parti au I de Colnet, qui est d’argent au sénestrochére de gueules, paré d’argent, mouvant du flanc vers la pointe, la main gantée d’or portant sur le poing un faucon au naturel chaperonné de gueules, et accosté de deux branches de fougère de sinople, ou au naturel, au II d’Huart, qui est d’argent à une branche de houx de sinople de 5 feuilles, fruitée de gueules, issant de trois flammes de gueules.

Armes portées par cette branche luxembourgeoise de la famille, qui a habité le château de Bertrange près de Luxembourg.

Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 297

Reilly

Armes:


D’argent au chêne de sinople terrassé du même, à un sénestrochère de carnation mouvant du flanc, armé d’une épée et perçant la tête d’un serpent enroulé autour du fût de l’arbre.

Casque couronné.

Cimier:

Un bras armé au naturel, tenant une épée en barre.

Sources du Dr. Loutsch:

(R./S.A.R. III, P. 207).
Famille irlandaise, dont une branche était fixée au Luxembourg au XVIIIe siècle. Voir Bruck, Bourses d’études, pp. 531 et 535.

Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 670