aigle Substantiv, feminin. Der Adler ist das zweiwichtigste Tier und der wichtigste Vogel [oiseau] der Heraldik. Er wird meist stark stilisiert dargestellt.
Beschreibung
In der französischen Heraldik wird ihm weibliches Geschlecht zugeschrieben, obwohl der zoologische Begriff auch im Französischen männlich ist.
Einige Beispiele
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Die de Kettenheim führten:
Arnould de Kettenheim war 1413 Vogt von Arlon. Hier haben wir nahezu die einfachste Form eines Wappens: ein schwarzer Adler auf auf silbernem Grund. Das Wappen hat seinen Träger aber höchstens lokal, im Herzogtum Luxemburg alleine gestellt, es dürfte in Europa einige 100 Familien geben, die genau dasselbe Wappen führten. Der Adler ist standardmässig stilisiert worden, aber in schwarzer Farbe gehalten, der normalen Farbe des Gefieders dieser Tiere, auch in der Natur Man beachte: Die Schwünge [vol] sind ausgebreitet, nahezu plattgekloppt, symetrisch genau wie Beine und Krallen. Nur Brust und der im Profil gezeichnete Kopf folgen nicht der Symetrie. |
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Die Trina führten:
Die Glieder in einer anderen Farbe zu wählen, war ein frühes Mittel sich von anderen abzugrenzen. Interessant an diesem Wappen ist, dass die Zungenfarbe nicht mit langué, sondern mit lampassé geändert wurde (einige Autoren reservieren dieses Attribut für die Landtiere) und die Beine nicht mit membré, sondern mit patté. |
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Die de Rochefort führten:
In der Heraldik kann aber nicht nur die Darstellung, sondern auch die Auswahl der Farben völlig von der Natur abweichen. Warum nicht ein roter Adler mit blauem Mund, Zunge, Beine und Krallen? |
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Mit der Abtei Sankt Maximin aus Trier mal ein Beispiel eines völlig unnatürlichen Doppeladler, also einer mit zwei Köpfen. Sie führte:
Es ist zugleich ein Beispiel dafür, dass Adlern oft ein Schildchen [écusson] mit einem weiteren Wappen auf die Brust gelegt wird. |
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Die de Zitzwitz führten:
Noch ein Beispiel eines Doppeladlers, diesmals mit Heiligenschein. |
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Nicolas Habbinius, abt von Munster von 1687 bis 1689 führte:
Dies eines der wenigen Beispiele aus dem betrachteten Gebiet, wo ein Adler etwas natürlicher, dargestellt wird. |
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Die de Heldingen führten:
Beim halben Adler wird trotzdem der ganze Kopf mitgezeichnet. Er ist eigentlich ein halber Doppeladler. |
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Die du Faing führten:
Loutsch führt diese Familie gerne als Beispiel dafür an, dass spätere Generationen von Heraldikern in der Blasonierung noch mit [le vol abaissé] anzeigten, dass die Flügel nicht ganz ausgeschwungen wären, meint aber, dies wäre nur der Familientradition geschuldet, den Adler altmodisch zu zeichnen. |
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Die Luttange – variante 3 könnten geführt haben:
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Bezeichnung in verschiedenen Sprachen
Französisch | Aigle |
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Deutsch | Adler |
Englisch | Eagle |
Italienisch | Aguila |
Spanisch | Aquila |
Siehe auch Rolland et Bender (1903).
Einordung
figure / meuble / figure naturelle / animaux / oiseaux / aigle
Der Adler wird, wenn nicht anders angegeben stark stilisiert, mit nur sehr wenigen, aber detailreichen Federn und mit ausgebreiteten Schwingen gezeichnet. Diese Form nennt man dann auch gerne “aigle héraldique”.
Bis aus den Kopf, der nach links (heraldisch: rechts) schaut, ist darauf zu achten, den Adler möglichst symetrisch zu zeichnen, insbesondere die Schwingen. Künstlerische Freiheit gibt es hier nur, wenn das Feld unsymetrisch ist, wie z.B. die Viertel 3 und 4 beim gevierten Schild [écartelé].
Häufige Attribute.
- Wie bei allen wehrhaften Tieren, wählt man auch beim Adler oft eine andere Farbe für die Krallen, was dann das Attribut armé ausdrückt.
- Viel häufiger bekommen jedoch nicht lediglich die Krallen, sondern auch noch die Füsse eine andere Farbe als die Figur, was dann mit membré klargestellt wird.
- Schaut der Kopf nach rechts, ist der Adler [contourné]
- Als [aigle essorante] bezeichnet man ihn, wenn er gerade dabei ist loszufliegen. Dann wird er auch nicht mehr symetrisch gezeichnet.
Sonderformen
- Der Doppelkopfadler [l’aigle éployée]. Der hat zwei Köpfe und ist dadurch noch viel symetrischer als der einfach Adler. Gilt dann aber als figure chimérique. Als Doppeladler ist er dann oft noch nimbé, hat also einen Nimbus (“Heiligenschein”) um die Köpfe.
- aiglette nennt man den Adler, wenn er mehrmals im Feld vorkommt (siehe Beispiel Niederösterreich)
- alérion, ist eine aiglette ohne Füsse und Schnabel. Berühmtestes Beispiel: Lothringen.
Beschreibung durch klassische Heraldiker in französischer Sprache
Michel Pastoureau (1947-)
schrieb in der 5. Auflage (2008) des 1979 in Paris erschienenem Traité d’héraldique
L’aigle est avec le dragon le seul animal qui appartienne à l’emblématique de tous les temps et de tous les pays. Dans les armoiries occidentales, son indice de fréquence est cependant très inférieur à celui du lion : au Moyen Age on compte environ un écu à l’aigle pour six écus au lion, et à l’époque moderne le rapport semble passer de un à dix.
C’est surtout la rareté de l’aigle dans les armoiries roturières qui explique ces différences. L’aigle est en effet essentiellement une figure héraldique nobiliaire, symbole de puissance et d’autorité.
(…)
Dans les pays d’Empire, l’aigle héraldique a souvent une signification politique: c’est l’emblème des partisans de l’empereur, alors que le lion est celui de ses adversaires. L’aigle impériale germanique est l’héritière plus ou moins directe de l’aigle impériale romaine (en héraldique comme en emblématique, le mot aigle est du genre féminin). Nous savons par plusieurs témoignages qu’elle était l’insigne de Charlemagne et qu’il l’avait fait placer au sommet de son palais d’Aix-la-Chapelle.
(…) elle est représentée aplatie, la tête dressée, les ailes étendues et symétriques, les pattes plus ou moins écartées, comme si elle avait été clouée sur l’écu en guise de trophée. L’héraldique n’a d’ailleurs pas créé ce dessin très stylisé de l’aigle. Comme celui du lion, il vient d’Orient.
Lorsque dans un écu l’aigle est représentée d’une manière naturaliste et semble prendre son envol, on la blasonne essorante, mais il y en a peu d’exemples dans les armoiries antérieures au XVIIe siècle.
(…)
Comme presque tous les animaux l’aigle peut être couronnée, mais cela est rare au Moyen Age (environ 3 % des cas). Lorsque son bec et ses pattes sont d’un émail différent de celui de son corps, elle est dite becquée et membrée. Les exemples n’en sont pas très nombreux avant le milieu du XIVe siècle, et comme pour la langue et les griffes du lion, tout dépend dans ces attributs du soin et de la fantaisie des artistes et des auteurs d’armoriaux.
(…) A l’époque moderne, l’aigle peut avoir la langue et les griffes d’un émail différent de celui du bec et des pattes. On la blasonne alors fringuée (le terme lampasse est réservé aux quadrupèdes) et onglée. Enfin, lorsque sa tête est tournée vers le flanc senestre de l’écu, elle est dite contournée.
Dr. Loutsch (1932-2004)
schrieb 1974 im Anhang zu seinem Armorial du pays de Luxembourg:
En langage héraldique, est toujours du genre féminin. Il est absolument indifférent que l’aigle ait le bout des ailes tourné vers le chef ou vers la pointe de l’écu, il s’agit là uniquement d’une question de mode suivant: l’époque. Aux temps les plus reculés l’aigle avait toujours les ailes abaissées. Si cela est parfois précisé dans les armoriaux tardifs (exemple du Faing), cela est uniquement dû au fait que certaines familles ont gardé une forme archâique. Malgré nombreux auteurs, il faut considérer une aigle éployée comme une aigle bicéphale.
Léon Jéquier (1905-1996) und D.L. Galbreath (1884-1949)
In dem 1977 erschienenen Überarbeitung des Werkes von Galbreath schrieb Jéquier im “Manuel du blason” zum Adler u.a.:
L’aigle, toujours au féminin en blason, est dessinée d’une façon symétrique. Les pattes sont écartées, les ailes déployées; suivant l’époque, elles peuvent être baissées ou levées, ce qui est sans signification même si au XVIIIème siècle on a distingué les aigles au vol abaissé des aigles normales. Ailes n’ont qu’un nombre restreint de pennes, le plus souvent trois à huit. La queue est un assemblage de plumes ornementales d’un dessin très variable. La symétrie disparaît parfois lorsque la forme du champ l’exige, mais elle est parfaite quand l’aigle est à deux têtes ou bicéphale; c’est alors seulement que quelques auteurs l’appellent éployée. C’est une erreur et il faut appeler éployé tout oiseau dans la position caractéristique de l’aigle, ainsi p. ex. les faucons éployés des Montfalcon bressans. Ces oiseaux éployés sont d’ailleurs rares.
L’aigle bicéphale est l’aigle de l’Empereur, l’aigle à une seule tête étant celle du roi des Romains. On trouve même parfois pour l’Empereur une aigle à trois têtes.
Les Kleestengel, étroits bâtons plus ou moins courbés, souvent terminés en trèfles, d’un émail différent chargeant les ailes des aigles sont caractéristiques de l’héraldique allemande et autrichienne. Ils rappellent les baguettes de métal fixant jadis le meuble sur l’écu. Certaines aigles sont chargées de petites pièces sur la poitrine ou sur l’estomac comme on disait au XVIIIème siècle.
Charles Grandmaison (1824-1903)
schrieb 1852 im dictionnaire héraldique zu seinem Werk “Explication et la description des termes et figures usités dans le blason”:
— De tous les oiseaux le plus commun dans les armoiries est l’aigle. Sa réputation de force et de courage dut le faire prendre par des guerriers pour symbole et pour emblême et parmi les quarante premiers connetables de France, vingt-deux ont une aigle seule ou en nombre dans leurs armoiries.
Si elle a deux têtes, comme celle de l’Empire, elle est dit éployé. Plusieurs écrivains héraldiques ont appliqué ce terme à l’aigle aux ailes étendues; c’a été une source d’erreurs dont nous n’avons pu corriger qu’un trop petit nombre, obligé que nous étions, faute de monuments, de suivre les descriptions données par nos devanciers. Dans la Bulle d’or de Charles IV, elle n’a encore qu’une seule tête, et ce n’est qu’à partir de Sigismond, fils de ce prince, qu’on lui en voit deux dans les monuments.
Elle peut être becquée, membrée, languée, couronnée, diadémée d’un autre émail; ou encore naissante ou issante. Elle est dite contournée, lorsqu’elle regarde la gauche de l’écusson ; elle est onglée, quand les serres seulement sont d’un émail différent du reste du corps. Elle est essorante, lorsqu’elle parait prendre sa volée. Enfin, si les bouts des ailes, au lieu d’être élevés vers les angles du chef, tendent au contraire vers le bas de l’écu, on l’exprime en disant au vol abaissé. Lorsqu’il se trouve plus de trois aigles dans un écu, ou que les trois aigles se rencontrent avec d’autres pièces, on les nomme aiglettes. Elles ont les mêmes attributs que les aigles dont elles sont des diminutifs.
Rietstap (1828-1891)
schrieb 1884 im Dictionnaire des termes du blason und in der Einleitung zum Armorial Général:
en langage héraldique, est du genre féminin.
- Sous sa forme naturelle, l’aigle est assez rare en armoiries; ou la nomme aigle de profil, de ce qu’on la met toujours de profil
- L’aigle héraldique, celle qui s’appelle aigle tout court, est représentée le corps érigé, les ailes ouvertes et étendues des deux côtés, la tête de profil, les pattes écartées, la queue descendante verticalement et ornée de plumes ondoyantes (V, 18.)
- Lors-quelle a deux têtes, elle reçoit le nom d’aigle éployée (V, 19)
Il est absolument indifférent si le bout des ailes d’une aigle soit tourné vers le chef ou vers la pointe de l’écu, ce qui dépendait du goût régnant à telle ou telle époque et des habitudes des peintres ou sculpteurs d’autrefois. Aux temps chevaleresques, l’aigle avait toujours les ailes abaissées (VII, 13—15); aujourd’hui elle les porte levées et dirigées vers le chef de l’écu.
Aigle (Demi-) qui figure dans presque toutes les armoiries frisonnes, est la moitié presque sans exception la moitié dextre d’une aigle dont le corps serait coupé en sens vertical, tandis que la tête et le col sont restés libres, ce qui fait qu’elle serait plutôt la moitié d’une aigle éployée. Cependant ou est convenu de la considérer comme la moitié d’une aigle simple.
(…)
une aigle au vol abaissé est précisément la même chose qu’une aigle au vol levé; seulement, la première est un type moyen-âge et l’autre un type moderne (*). Aux premiers temps on représentait toute aigle avec les ailes tournées en bas et dans les temps postérieurs ou se plaisait à le diriger vers le chef de l’écu. La seule condition était que cela devait toujours rester une aigle, qu’il n’aurait pas été permis d’en faire un lion ou quelque autre emblème, tout-à-fait différent, et que le tout devait être traité en style ornemental
Simon de Boncourt (19. JH)
schrieb 1885 im Dictionnaire héraldique der Grammaire du blason:
L’AIGLE est l’oiseau qui se voit le plus souvent en armoiries. En blason, il a le genre féminin.
Ses ailes sont ouvertes; quand elles sont rabattues vers la pointe de l’écu, elle a le vol abaissé, elle est
- contournée quand elle regarde à sénestre;
- essorante lorsqu’elle paraît prendre son vol;
- aiglette quand elle est répétée plusieurs fois dans l’écu;
- alérion quand l’aiglette n’a ni bec ni pattes;
- vol d’aigle, les deux ailes sans le corps;
- demi-vol, une seule aile;
souvent elle a deux têtes, on la nomme alors éployée, mais nous la mettons dans ce dernier cas au nombre des figures chimériques.
On dit langué, de sa langue (et non lampassé comme pour le lion…), armé, de ses griffes, membré, de ses membres, quand ces parties sont d’un autre émail que celui du corps.
Joseph Martin (19.JH)
schrieb 1824 in den termes du blason zu seinem Cours abrégé de blason:
Beschreibung in anderen Sprachen
Otto Titan von Hefner (1827-1870) [deutsch]
schrieb 1861 im Handbuch Der theoretischen und praktischen Heraldik -Teil 1 :
Das Federvieh kommt in Wappen sehr häufig und in vielerlei Arten und Gestalten, ganz und teilweise vor. Weitaus am zahlreichsten ist der Adler und einzelne Teile desselben (Flug; Rumpf; Krallen) vertreten, und es verschwinden dagegen an Zahl die übrigen Vögel als Wappenbilder. Deshalb ließen sich auch von Beispielen für Adler wohl hunderte beibringen, wo uns für andere kaum ein paar zu geben möglich wird.
Die Vögel erscheinen entweder auffliegend oder sitzend, selten und nur in Wappen der spätesten Zeit ganz freifliegend. Ein sitzender Vogel hat die Flügel am Leibe liegend (XV. 391; 395, 400, 404 ff.), ein auffliegender trägt dieselben erhoben (393, 405, 424, 439 u.a.). Der Adler hat in der Heraldik von jeher eine besondere Gestalt, welche, obwohl der Kunstrichtung jeweilen folgend, dennoch sich im Wesentlichen gleich geblieben ist. Der Adler wird nur auffliegend dargestellt, doch zum Unterschied von andern auffliegenden Vögeln derart; dass die beiden Flügel und die Krallen gleichmäßig zu beiden Seiten des senkrecht stehenden Leibes; der Schweif aber ebenfalls gleichmäßig ausgebreitet am untern Ende des Leibes erscheint. An den Flügeln sind die Federn, her. Schwingen, auseinander gehalten und wieder symmetrisch verteilt, gleichwie auch die Zehen an den Krallen. Der Schnabel ist in der Regel offen mit weit vorgestreckter Zunge und der Hals leicht gebogen. Die kunstgeschichtliche Entwicklung des heraldischen Adlers werde ich im II. Teile v.B. geben.
und 1863 im Teil 2
James Robinson Planché (1796–1880) [englisch]
schrieb 1885 im The pursuivant of arms (1852-59):
As the Lion by common consent is styled King of the Beasts, so has the Eagle been honoured by the sovereignty of the Birds, and as the symbol of Imperial Jove was obviously chosen by the earthly potentates who worshipped him. About the same period in which we first perceive the Lion, almost with one accord, adopted as the cognizance of the Norman Kings of England, the Kings of Scotland, Norway and Denmark, the native Princes of Wales, the Dukes or Normandy, the Counts of Flanders, Holland, &c., the expanded wings of the Eagle are found overshadowing as many escutcheons in the southern and eastern portions of Europe. The German Emperors, succeeding immediately to the Caesars of Rome, assumed, or, an EAGLE, sable, sometimes with one, but more generally, as of present, with two heads, typifying the Eastern and Western Empires. Respecting the double-headed Eagle, I shall have a few words to say to you under the head of “MARSHALING.” The earliest instance extant that I know of in English coat-armour of an Eagle, occurs on the seal of Edmund, Earl of Cornwall, son of Richard, King of the Romans; but the Eagle is thereon only represented as bearing in its beak the shield of arms, and forms no portion of the coat itself. In the Latin epitaph on his father, Richard, it is said that he, as King of the Romans, bore an Eagle in his shield; but it does not appear on his seals. The Eagle is however found in company with the other coat of this Richard on many encaustic tiles, and also on some steelyard weights, one of which was found near the battle-field of Lewes, and there is no reason to doubt that he displayed it on a separate shield or banner.
Häufigkeit in meiner Datenbank
185 hier verzeichneten Wappen
A
Aldringen, Altenahr, Verbandsgemeinde, Andrea - variante, Anvers, Anvers, Aragon-Sicile, Aspelt, Aspelt - variante, AwanB
Baijot, Beck, Beck - variante, Berg, Berg (Walecourt), Bergh - Kesten, Bernadotte, Blanchard, Blanchard - variante - 1, Blanchard - variante - 2, Blemsdyk (Gueldre, Hollande), Borghese Flavio, Boulay, ou Boullay, Bousserey, Bouylle, Brambilla, Brandenbourg, margraves, Brandenburg, BRIMEU, comte de Megen, Brimeu-Megen-HumbercourtC
Caber, Caber, Carniole, Charlet, Chastelet, Chastelet - variante, Chevaliers teutoniques, Clemery, Clemery-variante, Clerx, Collard, Colmar-Berg, Cronberg, Kronberg ou Cronenberg - variante 2, Cronenbourg, Cronenbourg, dit Bitche, Crupet - varianteD
Daun (comtes) Branche aînée, de Luttange - variante, Dollendorf, DupuisE
Echternach, Echternach, cantonF
Faider, Faing, Feront, Fisenne, Fisenne (plus tard), Fontois, ou Fontoy, Fontois, ou Fontoy variante 1, Fontois, ou Fontoy variante 2, Francequin, ou FrancquinG
Gerlache, Giltingen - variante 1, Giltingen - variante 2, Goitze, ou Goetzensohn, Grandjean de Muno, Grandjean de Muno - variante, Grummelscheid, Grummelscheid - variante 1, Grummelscheid – variante 2H
Habaru, Habaru - variante, Habbinius, Haeck, Harzee, Hatz, Haute-Autriche, Haute-Silésie, Helm, Herbeaux, Heuschling Henri, Hoefnagle, Hoffmann, Holocati (Milan), Houffalize, Humain ou Humyn - armes augmentées, Hurt de SchoeneckenI
IcourtK
Kettenheim, KringsL
Lambert, Lambert - variante, Landau in der Pfalz (D), Landscheid, Laroche (ange), Leiningen, ou Linange, Lewis de Harpton (Comté de Radnor (Pays de Galles)), Lombardie, Loncin, Longwy, Louis, dit Latouche, Löwenstein-Wertheim-Rochefort - augmentation, Löwenstein-Wertheim-Rochefort - vers 1550-1600, Ludovisi d'Orley, Luttange, Luttange - variante 1, Luttange - variante 2, Luttange - variante 3, Luxembourg-GörlitzM
Macheren, Manderscheid-Blankenheim - variante 3, Mansfeld, Mantoue, Marchant d'Ansembourg, Martial, Martial - variante 1, Martial - variante 2, Martiny, Matthias II de Munster, Mecklenburg-Vorpommern, Mertzig, Mesnil (de Waha), Milleret, Milly, Moers - Saarwerden, Montecuculli, Montplainchamps, Montplainchamps, Montplainchamps - variante, MussetMusset - variante, Mussy
N
NeuenahrO
Orgeo Georges, Orjo de Marchovelette, Orjo, ou Orgeo, Orjo, ou Orgeo - brisure, Ottange, Ottange - variante 1P
Paschasius, Paschasius, ou Paschasi - variante 1, Pasqualini, Pescatore - variante 2, Pescatore - variante 3, Pescatore - variante 4, Preisch, PrinetR
Reigersberg, Rendeux, Rendeux (B), Reumont, Rochefort, Rochefort - variante, Rossius d'Humain, Royaume de Lombardie - varianteS
Sachsen-Anhalt, Salm-Salm, Schaefer, Scheffer - variante, Schott de Rodenborn, Senocq, Senocq (branche), Senocq (branche) - variante, SilésieT
Tassigny, Teschen-Glogau, Thaly, Taly ou Tailly, Thaly, Taly ou Tailly - variante 1, Thaly, Taly ou Tailly - variante 2, Trina, Trina - variante 1, Trina - variante 2V
Valhon, Viron, VychtW
Wachtendonck, Waha, Waha - variante, Walcourt, Werth, ou de Wehr, Wiltz - brisure - 1, Wiltz - brisure - 2, Winseler, Wyckerslooth de GrevenmacherZ
Zitzwitz, Zitzwitz - varianteWeblinks
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