bande Substantiv, feminin
Streifen der schräg von oben links bis unten rechts über das Schild oder Feld geht.
- Beschreibung
- Beschreibung durch klassische Heraldiker in französischer Sprache
- Clement Prinsault (15. JH)
- Claude-François Ménestrier (1631-1705)
- Joseph Martin (19.JH)
- Charles Grandmaison (1824-1903)
- Henri Gourdon de Genouillac (1826 – 1898)
- Simon de Boncourt (19. JH)
- Rietstap (1828-1891)
- L.-A. Duhoux d’Argicourt
- Comte Alphonse O’Kelly de Galway
- Dr. Loutsch (1932-2004)
- Michel Pastoureau (1947-)
- Beschreibung durch klassische Heraldiker in anderen Sprachen
- Häufigkeit in meiner Datenbank
- Weblinks
Beschreibung
Der Schrägbalken [bande] ist eines der wichtigsten und häufigsten Heroldstücke, sehr charakteristisch für ein Wappen.
Bezeichnung in verschiedenen Sprachen
Französisch | La bande |
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Deutsch | Der Schrägbalken |
Englisch | The bend |
Italienisch | La banda |
Spanisch | La banda |
Siehe auch Rolland et Bender (1903).
Einordung
Darstellung
Die älteren Heraldiker meinten, er solle ein Drittel des Schilde ausmachen, Rietstapp riet nur zu einem Viertel.
Sonderformen
Häufige Attribute
Einige Beispiele
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Die de Chalon führten:
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Die de Serainchamps führten:
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Die Loutsch führten:
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Die Puta de CZASTALOWITZ führten:
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Die de Reuland führten:
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Beschreibung durch klassische Heraldiker in französischer Sprache
Für die Leser die Französisch können, stellen wir hier noch ein paar Originalzitate zusammen. Wir beginnen mit den ältesten:
Clement Prinsault (15. JH)
schrieb im Traité de blason (15. JH)
Chascune des IX choses ensuyvans, c’est assavoir Chef, Pal, Bende, Fesse, Chevron, Giron, Orle, Crois et Saultouer, doit tenir la tierce partie de l’escu, et quant elle est plus petite, c’est devise.
Claude-François Ménestrier (1631-1705)
schrieb 1696 in der La nouvelle méthode raisonnée du blason
R. Il est vrai & pour commencer par les positions, je vous dirai qu’il y en a de fixes, de pleines, de rapport & d’arbitraires.
D. Je veux tâcher de retenir ces quatre termes fixes, pleines y de rapport & arbitraires. Qu’appellez-vous positions fixes ?
R. Celles qui ont une place arrêtée & determinée dans l’Ecu & qui ne change point: (…) La Bande, qui occupe le tiers en travers de droite à gauche.
Joseph Martin (19.JH)
schrieb 1824 in seinem Cours abrégé de blason:
§ III. De la Bande.
La bande est ordinairement formée par deux lignes diagonales, tirées du chef de droite de l’écu, à sa base de gauche.
La bande occupe la cinquième partie du champ lorsqu’il n’est pas chargé; dans le cas contraire elle en occupe le tiers.
Les diminutifs de la bande sont la bandelette, qui est de moitié moins large; la cotice, qui n’est que le quart de la bande, et le ruban, qui en est la huitième partie.
Charles Grandmaison (1824-1903)
schrieb 1852 im dictionnaire alphabetique des termes du blason zu seinem Werk “Explication et la description des termes et figures usités dans le blason”:
BANDE. — Une des neuf pièces honorables; elle occupe les deux septièmes de la largeur de l’écu, lorsqu’elle n’est point ac- compagriée elle est posée diagonalement de l’angle dextre du chef, à l’angle senestre de la pointe. Deux bandes ont pareillement chacune deux septièmes de la largeur de l’écu, et une distance entre elles égale à leur largeur. Trois bandes ont chacune une partie et demie des sept de la largeur de l’écu.
Lorsqu’il y a plus de trois bandes dans un écu, elles prennent le nom de cotices.
Les bandes sont presque toujours pièces principales dans l’écu; cependant quelque- fois elles chargent ou accompagnent d’au- tres pièces honorables ou servent de brisures. Il y a des bandes abaissées, accompagnées, accostées, alésées, bastillées, bordées, bretessées, cannelées, contre-potencées, cotoyées, crénelées, denchées, diaprées, éthique fées, emanchées, engoulées, engrélées, faillies, frettées, fuselées, gironnées, losangées, nébulées, ondées, pliées, raccourcies, surmontées, treillissées, vivrées, etc.
On dit aussi en bande, pour signifier que les meubles dont on parle sont posés dans le sens d’une bande. Si les pièces de longueur posées en bande sont couchées, il faut l’expliquer en blasonnant. On dit encore en bandes, pour exprimer que les divisions de l’écu, ou les pièces dont on parle, sont dans le sens de plusieurs bandes.
La bande représente l’écharpe de l’ancien chevalier, posée sur l’épaule. Suivant quelques auteurs, la plupart des bandes d’argent que l’on rencontre dans les armoiries de diverses familles proviennent de ce que, pendant les divisions des maisons d’Orléans et de Bourgogne, ceux qui tenaient le parti du duc d’Orléans portaient des bandes ou écharpes blanches.
Henri Gourdon de Genouillac (1826 – 1898)
schrieb 1853 im Vocabulaire héraldique nur:
bande pièce honorable de l’écu.
und im eigentlichen Teil seiner Grammaire héraldique :
La bande (pl. I, fig. 23) va obliquement de la partie dextre du chef à la partie sénestre de la pointe.
Simon de Boncourt (19. JH)
schrieb 1885 in der Grammaire du blason:
La BANDE occupe le tiers de l’écu en diagonale de l’angle supérieur dextre à l’inférieur sénestre. (Fig.47.)
Rietstap (1828-1891)
schrieb 1884 im Dictionnaire des termes du blason der Einleitung zum Armorial Général:
Les pièces héraldiques sont formées par des traits qui presque toujours parcourent le champ entier. Telles sont:
etc.
Les anciens auteurs fixaient la hauteur ou la largeur des principales pièces héraldiques à un tiers de l’écu, ce qui en fait des corps trop lourds. En leur donnant un quart de la hauteur de l’écu, on obtient une meilleure proportion par rapport à la dimension du champ.
L.-A. Duhoux d’Argicourt
schreib 1899 in seinem Werk l’Alphabet et figures de tous les termes du blason:
La Bande est la pièce honorable qui commence à l’angle droit de l’écu vers le chef, et finit, en ligne diagonale, à l’angle gauche vers la pointe. Les Bandes ne peuvent se multiplier sur l’écu au-delà du nombre quatre et toujours être placées à égales distances les unes des autres, en laissant entre elles autant de place que chacune d’elle en occupe. Lorsque les Bandes figurent sur un écu au-delà du nombre quatre, elles prennent le nom de cotices ; un autre diminutif de la Bande est le bâton (voir ce mot) ; enfin, une pièce quelconque du blason, animée ou inanimée, se dit posée en Bande quand elle affecte cette position.
Comte Alphonse O’Kelly de Galway
schrieb 1901 im Dictionnaire archéologique et explicatif de la science du blason (Bergerac):
Pièce large posée diagonalement de l’angle dextre supérieur de l’écu, à l’angle sénestre de la pointe. Seule, elle occupe deux parties de sept de la largeur de l’écu.
Deux bandes se posant de même, ont pareillement chacune deux septièmes de la largeur de l’écu, et un espace entre elles égal à leur largeur.
Trois bandes ont chacune une partie et demie de la largeur de l’écu, divisé en sept parties égales. Lorsqu’il y a plus de trois bandes dans un écu, elles se nomment cotices.L’expression en bande indique la position d’emblèmes dans l’écu.
La bande représente l’écharpe de chevalier, posée sur l’épaule.
Au XVIIe siècle, les Français portaient l’écharpe blanche, les Espagnols l’écharpe rouge, les Allemands l’écharpe noire, les Bavarois et les Rhénans l’écharpe bleue, les Hollandais l’écharpe orange, les Catalans l’écharpe noire, les Danois et les Anglais l’écharpe azurée, etc.D’après M. Wulson de la Colombière, les cavaliers portaient l’écharpe ou baudrier indistinctement à droite ou à gauche de la taille.
Un Ordre de la Bande ou Ordre de l’Echarpe fut créé en 1330, par Alphonse XI, roi de Léon et de Castille, dans le but de donner aux seigneurs de sa Cour des marques de sa munificence et de les engager à soutenir la religion catholique en butte aux attaques des Maures. II ne fut conféré qu’aux gentilshommes appartenant aux plus illustres familles d’Espagne, et disparut après s’être acquis une certaine célébrité. (Gourdon de GENOUILLAC. Dictionnaire historique des Ordres de chevalerie).
Dr. Loutsch (1932-2004)
schrieb 1974 im Anhang zu seinem Armorial du pays de Luxembourg:
Pièce honorable formée par la surface comprise entre deux lignes obliques et parallèles allant de l’angle dextre du chef à l’angle sénestre de la pointe (exemple Ansembourg)
Michel Pastoureau (1947-)
schrieb in der 5. Auflage (2008) des 1979 in Paris erschienenem Traité d’héraldique
Bande. Pièce qui traverse l’écu depuis l’angle dextre du chef jusqu’à l’angle senestre de la pointe.
Beschreibung durch klassische Heraldiker in anderen Sprachen
Otto Titan von Hefner (1827-1870)
schrieb 1861 im Handbuch Der theoretischen und praktischen Heraldik -Teil 1 :
Zieht man von einem Obereck nach dem entgegengesetzten Untereck eine Linie, so entsteht die Schrägteilung. Weitaus die meisten Schrägteilungen gehen in der Richtung vom vorderen Obereck nach dem hinteren Untereck, es lässt sich also beidem Worte Schrägteilung, Schrägbalken etc. im Allgemeinen immer das Aufsteigen der Balken, Teilung etc. nach der Vorderseite, beziehungsweise das Abwärtssteigen nach der hintern Seite ausdrücken, gleichviel ob der Schild nach Rechts oder Links gekehrt sei. Nur in Ausnahmefällen findet das Gegenteil statt, und auch diese Ausnahmefälle lassen sich sehr häufig als Missverständnisse der schon erwähnten Regel über die Schildesstellung erklären; wo aber wirklich “diplomgemäß” eine Schrägteilung etc. einmal den entgegengesetzten Weg einschlägt, da muss dies ausdrücklich erwähnt werden.
Die meisten Heraldiker bezeichnen bei jeder Schrägteilung etc. die Richtung in der Art, dass sie zwischen Rechts- und Links-schräggeteilt genau unterscheiden. Die Franzosen und Engländer haben für diese Richtungen sogar eigene Kunstwörter: tranché, party per bend in dieser Richtung \, und taillé, party per bend sinister für diese / Richtung. Der gelehrte Schuhmacher thut sich (1694) nicht wenig darauf zu gut, zwei neue Kunstwörter in die deutsche Heraldik eingeführt zu haben, indem er die erstere Schrägteilung „geschnitten” und die letztere “durchzogen” nennt. Ingleichen haben die Franzosen für Schrägbalken in der Richtung \ den Namen bande, die Engländer bend, die Italiener banda, Herr Schuhmacher aber “Band”, dagegen für den Schrägbalken in der andern Richtung /, beziehungsweise barre, bend sinister, barra und Schuhmacher “Straße” erfunden. Die meisten deutschen Heraldiker nennen aber das “Band”: Rechtsschrägbalken oder auch Rechtsbalken, und die “Straße”: Linksschrägbalken oder Linksbalken.
James Robinson Planché (1796–1880)
schrieb 1885 im The pursuivant of arms (1852-59):
The BEND (Bande, French) is a similar band crossing the shield diagonally from the right to the left. When it is drawn in the opposite direction, from left to right, it is now called in England “a BEND SINISTER,” but in the fourteenth century it was called a FISSURE. Menestrier calls it a BAR, and a diminution of it is in this country commonly called “the Bastard’s Bar.” (See MARKS OF ILLEGITIMACY.)
Häufigkeit in meiner Datenbank
Bei Wörtern mit Umlauten funktioniert der Datenbankaufruf zur Zeit nicht richtig.
253 hier verzeichneten Wappen
A
Abinet, Alsace, Anly, Ansart, Ansart, Ansembourg - armes primitives, Asselborn, Pierre d', AwameyB
Bade, Bade (Bâtard), Bade - variante 2, Bade - variante 3, Bade - variante 4, Bade, Christoph marquis de, Baillet, Basenheim dit Ulge ou Ule, Bastogne, Prévôts de, Bayonville, Berg ou Bergh, Berlier, Berlier - variante 1, Berlier variante 2, Blank (Bavière), Bohan, Boreux, Boudry, Boudry - variante, Bouligny, Bouligny - varianteBoulogne, ou Bollogne, Bourcy, Bourcy - variante 1, Bourcy - variante 2, Bourgogne (ancienne), Bouvigny, ou Bouvigny - brisure - 1, Bowyer de Denham (Buckinghamshire), Brambach, Brambach - variante, Brandscheid - variante 1, brandscheid-variante-2, Britt Jehan
C
Caber, Caber - variante, Carpentier André, Celles, Chalon, Chalon, ChasteletD
Damer comte de Dorchester (Dorsetshire), Delbovier d'Alhoumont, Dobschütz (Silésie), Donchols (sur Lessencour), Donchols (sur Lessencour) Variante, DurbuyE
Elsenborn, Elsenborn - variante 1, Ensch, Etalle, Etalle - brisureF
Fock de Hubingen - variante, Franquin, Frantz de Soleuvre, Frantz de Soleuvre, Frantz de Soleuvre, Frantz de Soleuvre - variante 1G
Gaus de Bitbourg, Geisen - Schellart, Geisen de Bitbourg - armes simplifiées, Geisen ou Geissen de Bitbourg, et Geisen de Bettingen, Gevaerts (Hollande), Goffinet, Gourcy-Serainchamps, Gournay - variante, Greisch ("patent")H
Habsburg-Lothringen, Istvan Franz von, Harzee, Hauben, Heddesdorf, Heddesdorf - variante, Hemricourt, Hennin ou Henning, Herberen, Hesperange, Heu, Heu - armes augmentées 1, Heu - armes augmentées 2, Heuschling, Heuschling, HOCHBERG-NEUCHATEL, Holler, Hombourg (sur Canner), Hotton, Houst, Hout, HustinI
IrhelJ
Jouvenel des Crains (Champagne, Languedoc)K
Koerich, Koerich, Korbler (Styrie), KybourgL
Lachen, Lachen - variante, Lallemand, Lanchette - variante 3, Landscheid, Lanser, Laroche (branche?), Lemboury, Limpach - variante 1, Limpach - variante 2, Limpach - variante 3, Lorraine, Lorraine, Claude de, Loutsch - variante 2, Lutz, Lutz - armes augmentées, Lutz - variante 1, Lutz - variante 2, Lutz - variante 3 (douteux), Lutz - variante 4M
Maesen de Nombreff (Limbourg), Maillart de la Martiniére, Maler (Allemagne), Manderscheid-Blankenheim - variante 3, Mansfeld, Mathye, Mendoza (Castille), Messincourt, Mohr de Soetern, Monne, Morand, Mozet, MutschN
Nassau-Orange (Vianden), Neander, Neander, Marie-Sophie-Marguerite de, Neuerbourg, Neufchatel, Neufchatel, Neufchatel, Neuville, Nicolas II, Nocheren, NonancourtO
Olizy, Orchimont, Orchimont - variante 2, Orchimont-variante, Orquevaux, Orsainfaing, ou OrchainfaingP
Pascal ou Paschal, Pastoret, Pescatore - variante 1, Peton, Philippart, Philippin, Pierre, Pignon, Pin, Plunkett, Pouilly, Prelle, Preut, Pykart, ou PicardR
Raggi, Raggi - variante, Ransimont, Ransimont - variante 2, Rapedius de Berg, Rapedius de Berg - variante 1, Rapedius de Berg - variante 2, Rapedius de Berg - variante 3, Rapedius de Berg - variante 4, Rappin (Autriche), Reckange, ou Reckingen, Rédange, Redange, canton, Résimont, Résimont - variante, Reuland (cadette?), Rodemack, Rodemack, Rorive, Rossay, RouelleRousseau, Roussel
S
Saarland, Sainte-Marie, Sainte-Marie - variante 1, Sainte-Marie - variante 2, Sainte-Marie - variante 3, Sancerre (Berry), Sanchez-Garrido-Pardo, Sauvignier, ou Souvignier, Savelborn, Scharffbillig, Schifflange, Schifflange, Schifflange, Schifflange - variante 1, Schifflange - variante 3, Schliderer (ou Schloeder) de Lachen, Schliderer (ou Schloeder) de Lachen - variante, Schweisthal, Senocq (branche), Senocq (branche) - variante, SerainchampsSerainchamps - variante 1, Serainchamps - variante 2, Serainchamps - variante 3, Serainchamps - variante 4, Sierck, Sierck-Moncler, Simonis, Simonis - noblesse belge, Simonis - variante, Souroux, Sprimont, Staudt de Limbourg - variante 1, Sterpenich ou Sterpigny, Sterpenich ou Sterpigny variante 1, Sterpenich ou Sterpigny variante 2, Sterpenich ou Sterpigny variante 3, Stourton lord Stourton (Yorkshire)
T
TalangeU
Urre, Useldange - tardif, Useldange - variante 2, Useldange - variante 3V
Vassinhac d'Imecourt, Verniole ou Verniolles, Vervoz, Vervoz, Vervoz de Daverdisse, Vichten, Ville sur Iron, Ville sur Iron - Variante, Villenfagne, Villers, Villers, Villers/Orval, Villevillain, Virton, Volinpletz, VyleW
Weiler, Weiler - variante, Weiler-la-Tour, ou Villers-la-Tour, Wilne, Wiltz, WintrangeWeblinks
Französisches Wikipedia |
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_pi%C3%A8ces_h%C3%A9raldiques |
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Deutsches Wikipedia | https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_heraldischer_Begriffe |
Englisches Wikipedia | https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_heraldic_charges |
Spanisches Wikipedia | https://es.wikipedia.org/wiki/Anexo:Muebles_her%C3%A1ldicos |
Armoiries-blason.org |
http://www.blason-armoiries.org/heraldique/b/bande.htm |
Sonstiges |