barre

barre Substantiv, feminin

Ein Streifen von heraldisch links oben, nach heraldisch rechts unten.

Beschreibung

Bezeichnung in verschiedenen Sprachen

Französisch Barre
Deutsch Linksschrägbalken
Englisch Bend sinister
Italienisch Sbarra
Spanisch Barra

Siehe auch Rolland et Bender (1903).

Einordung

figure / pièce /

Darstellung

Sonderformen

Häufige Attribute

Einige Beispiele

Die Ostien führten:

De sinople à la barre d’argent.

Die Rossay führten:

D’azur à la barre d’argent chargée de trois étoiles de gueules.

Die von Blank aus Bayern führten:

De sable à la bande d’argent, chargée de trois fleurs-de-lis du champ, posées chacune en barre.

Die de Scherff führten:

Taillé d’azur et de sinople, à la barre d’or brochant sur la partition, accompagnée en chef d’une licorne contournée d’argent, en pointe d’une guivre du même, mise en barre.

Beschreibung durch klassische Heraldiker in französischer Sprache

Für die Leser die Französisch können, stellen wir hier noch ein paar Originalzitate zusammen. Wir beginnen mit den ältesten:

Claude-François Ménestrier (1631-1705)

schrieb 1696 in der La nouvelle méthode raisonnée du blason

R. Celles qui ont une place arrêtée & determinée dans l’Ecu & qui ne change point: comme le chef qui occupé toujours le tiers le plus haut de l’Ecu d’un flanc à l’autre. (…) La Barre, le tiers de gauche à droite en travers.

Joseph Martin (19.JH)

schrieb 1824 in seinem Cours abrégé de blason mehr oder weniger bei Ménestrier ab:

De la Barre.
La barre ne diffère de la fasce qu’en ce qu’elle n’occupe qui la cinquième partie du champ de l’écu.
Lorsque le champ contient un nombre pair de barres de métal et de couleur alternées, on le nomme barré, et l’on désigne le nombre de pièces.

Charles Grandmaison (1824-1903)

schrieb 1852 in seinem Werk “Explication et la description des termes et figures usités dans le blason”:

BARRE. — Une des neuf pièces honorables qui a les mêmes proportions que la bande, et n’en diffère que parce qu’elle est posée de l’angle sénestre supérieur de l’écu, à l’angle dextre inférieur empesé. Il y a des barres qui chargent ou accompagnent d’autres pièces honorables. La barre est souvent marque de bâtardise.
On dit en barre, en barres, pour exprimer que les pièces dont on parle sont posées dans le sens de la barre.

Henri Gourdon de Genouillac (1826 – 1898)

schrieb 1853 im Vocabulaire héraldique seiner Grammaire héraldique :

barre, pièce honorable de l’écu.

Simon de Boncourt (19. JH)

schrieb 1885 in der Grammaire du blason auf Seite 37:

La BARRE, au contraire, va de sénestre en haut à dextre en bas. (Fig.48.)

Rietstap (1828-1891)

schrieb 1884 im Dictionnaire des termes du blason der Einleitung zum Armorial Général:

Barre – Pièce héraldique formée de deux lignes diagonales parallèles tirées de senestre à dextre, l’espace entre ces deux lignes constituant la barre (II, 29.).

L.-A. Duhoux d’Argicourt

schreib 1899 in seinem Werk l’Alphabet et figures de tous les termes du blason:

BARRE. La Barre a les mêmes proportions que la bande, mais elle est placée et va diagonalement de l’angle gauche en chef de l’écu à celui de la pointe droite. La Barre est souvent employée comme brisure en signe de bâtardise, dans ce cas elle est de moindre largeur et, s’appelle traverse (voir ce mot) ; il sera reparlé de ce signe au mot bâton.

Comte Alphonse O’Kelly de Galway

schrieb 1901 im Dictionnaire archéologique et explicatif de la science du blason (Bergerac):

Figure l’écharpe ou le baudrier de l’homme de guerre posé de gauche à droite.
La barre ainsi appelée par opposition à la bande est fréquemment employée dans l’ancienne Allemagne. Nous croyons que la barre n’était, en principe, que la bande retournée par les dessinateurs, peintres et armoriâtes.
La barre est l’opposé de la bande. Elle part de l’angle sénestre supérieur pour aboutir à l’angle dextre inférieur de l’écu. Un écu est barri quand il est couvert de barres en nombre pair. Il est divisé en six espaces égaux par cinq traits diagonaux à sénestre.

Dr. Loutsch (1932-2004)

schrieb 1974 im Anhang zu seinem Armorial du pays de Luxembourg:

Pièce honorable formée par la surface comprise entre deux lignes obliques et parallèles allant de l’angle sénestre du chef à l’angle dextre de la pointe.

Léon Jéquier (1905-1996) und D.L. Galbreath (1884-1949)

In dem 1977 erschienenen Überarbeitung des Werkes von Galbreath schrieb Jéquier im “Manuel du blason”:

Déjà aux IXème et Xème siècles, les Byzantins et d’autres Orientaux ont des étendards à fanons et portent sur ceux-ci, comme sur leurs écus, des emblèmes voisins des emblèmes héraldiques: fasces, pals, bandes ou barres plus ou moins décorés, meubles tels que dauphin, fleur de lis.
(…)
La bande correspond au tranché, la barre au taillé.

Michel Pastoureau (1947-)

schrieb in der 5. Auflage (2008) des 1979 in Paris erschienenem Traité d’héraldique

La barre est en quelque sorte le contraire de la bande : elle descend obliquement de droite à gauche.

Beschreibung durch klassische Heraldiker in anderen Sprachen

Otto Titan von Hefner (1827-1870)

schrieb 1861 im Handbuch Der theoretischen und praktischen Heraldik -Teil 1 :

Die Franzosen und Engländer haben für diese Richtungen sogar eigene Kunstwörter: tranché, party per bend in dieser Richtung \, und taillé, party per bend sinister für diese / Richtung. Der gelehrte Schuhmacher thut sich (1694) nicht wenig darauf zu gut, zwei neue Kunstwörter in die deutsche Heraldik eingeführt zu haben, indem er die erstere Schrägteilung «geschnitten» und die letztere «durchzogen» nennt. Ingleichen haben die Franzosen für Schrägbalken in der Richtung \ den Namen bande, die Engländer bend, die Italiener banda, Herr Schuhmacher aber «Band», dagegen für den Schrägbalken in der andern Richtung /, beziehungsweise barre, bend sinister, barra und Schuhmacher «Straße» erfunden. Die meisten deutschen Heraldiker nennen aber das «Band»: Rechtsschrägbalken oder auch Rechtsbalken, und die «Straße»: Linksschrägbalken oder Linksbalken.

James Robinson Planché (1796–1880)

schrieb 1885 im The pursuivant of arms (1852-59):

The BEND (Bande, French) is a similar band crossing the shield diagonally from the right to the left. When it is drawn in the opposite direction, from left to right, it is now called in England “a BEND SINISTER,” but in the fourteenth century it was called a FISSURE. Menestrier calls it a BAR, and a diminution of it is in this country commonly called “the Bastard’s Bar.” (See MARKS OF ILLEGITIMACY.)

Häufigkeit in meiner Datenbank


56 hier verzeichneten Wappen

A

Alberti

B

Baltia, Bech, Beck, Bredimus, Budange ou Budingen, Budange ou Budingen - variante

C

Chardelle - variante 1, Clémency, Gerard de

D

Decker, Dunesme, Durbuy - variante 1, Durbuy - variante 2

E

Elsenborn - variante 2

F

Faber, Foullon, Foulon

G

Gladt, Goricie, Greiffenclau, Groulart

H

Hartmann, Hartmann, Hartmann - variante

I

Irhel, Irhel - variante 1, Irhel - variante 2, Irhel - variante 3

J

Jost, Jost - variante

L

Loreyn (Ville de Harlem), Loutsch, Loutsch - variante 1

M

Marché, Monschaw

N

Nicolas II, Niederbass (Allemagne), Nordrhein-Westfalen

O

Ostien, Ostien - variante

P

Palmersdorf, dit Unbescheiden, Pascal ou Paschal - Variante 1, Pascal ou Paschal - variante 2, Pidoll de Quintenbach

R

Rossay

S

Sander ou Sanderen, Scherff, Schwartz, Simoni, Staudt de Limbourg, Staudt de Limbourg - variante 2, Staudt de Limbourg - variante 2, Staudt de Limbourg - variante 2 "boules"

V

Valfleuri

W

Wintersdorf

Z

Zolliekon, von

Französisches Wikipedia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_pi%C3%A8ces_h%C3%A9raldiques
Deutsches Wikipedia https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_heraldischer_Begriffe
Englisches Wikipedia https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_heraldic_charges
Spanisches Wikipedia https://es.wikipedia.org/wiki/Anexo:Muebles_her%C3%A1ldicos
Armoiries-blason.org
http://www.blason-armoiries.org/heraldique/b/barre.htm
Sonstiges

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