2. Teil der Abschrift des Textes “traité de blason“, vermutlich geschrieben in der zweiten Hälfte des 15. Jahrhunderts, angeblich von einem gewissen Clément Prinsault.
Den mutmasslichen Originaltext kann der interessierte Leser auf http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53023953p/f1.zoom nachlesen. Wie man sieht, ist die Lekture allerdings ein wenig mühsam, zumindest für den ungeübten.
Der nachstehende Text wurde von dem französischen Archivar Douët-d’Arcq (1858) entziffert und 1858 so publiziert.
Die “Schreibfehler” sind original beibehalten worden, Bemerkungen die von Louis Douët-d’Arcq angebracht worden waren, sind mit “LDDA:” gekennzeichnet.
- LES ARMES DES SEIGNEURS DE FRANCE.
- S’ENSUYT LE VERGER DE FRANCE.
- LES ARMES DE PLUSIEURS CITEZ ET YILLES, DUCHEZ ET CONTES.
- CE SONT LES ARMES DES XVIII ROYS CHRESTIENS.
- S’ENSUYVENT LES ARMES DES XII PERS DE FRANCE.
- Sequuntur arma decem nationum aurelianensium1
- S’ensuivent les ditz et armes des IX femmes dictes et appellées Muses.
- S’ensuyvent les VII ars.
LES ARMES DES SEIGNEURS DE FRANCE.
S’ENSUYT LE VERGER DE FRANCE.
- Le roy — de France.
- Monseigneur le Daulphin. Premier — escartelé de France, au second quartier ung daulphin membré de gueules.
- Le duc de Guienne. Second — escartelé de France, deux léopars d’or rampans bordez de gueules.
- Le duc de Berry. Est de l’apanage de la coronne de présent, et n’est plus du compte ne nombre du vergier — de France, endenté de gueules.
- Le duc d’Orléans, IIIe — de France, trois lambeaux d’argent.
- Le duc d’Anjou, IIIIe — de France, bordé de gueules.
- Le duc de Bourbon, Ve — de France, une bende de gueules.
- Le duc de Bourgoingne — escartelé de France, une bordure coponnée d’argent et de gueules; bendé d’or et d’asur; ung escu d’or au milieu, ung lyon de sable dedans, d’argent, ung lyon de gueules coronné et armé d’or, de sable ung lyon rampant d’or.
- Le duc d’Alençon — de France, bordé de gueules et besanté d’argent.
- Le duc de Bretaigne — d’argent semé d’hermines2.
- Le conte d’Eu et d’Artoys — de France, à trois lambeaux de gueules et en chascun lambeau quatre chasteaux d’or.
- Le conte du Mayne — de France, bordé de gueules, ung lyon ram pant d’argent.
- Le conte d’Alebret — escartelé de France et de gueules les deux quartiers.
- Le conte de Vendosme — de France, bendé [de] gueules, trois lyons d’argent passans.
- Le conte de Nevers — de France, une bordure coponnée d’argent et de gueules. — Son cry: Je le feray.
- Le conte d’Armeignach — escartelé d’argent et de gueules, premier quartier d’argent, ung léopard de gueules, second quartier de gueules, ung lyon d’or rampant à double queue.
- Le conte d’Estampes — de France, trois lambeaux copez d’argent et de gueules. Le conte d’Angoulesme — de France, trois lambeaux d’argent, ung croissant de gueules au chief.
- Le conte de Dunays3 — de France, trois lambeaux d’argent, une bende d’argent à gauche.
- Le conte de Fouez4— premier Cartier, d’or, deux vaches de gueules, chascune ung clérin d’asur, le. colier d’argent ; le second cartier, paulé d’or et de gueules, ung parce d’or et dessus lyons passans de gueules.
- Le conte de Richemont — de Bretaigne, trois lambeaux de gueules, IX lyons d’or passans.
- Le duc de Breban — escartelé de Bourgoingne, l’aultre cartier d’argent, ung lyon de gueules coronné et armé d’or à double queue, l’aultre cartier de sable, ung lyon d’or.
- Le conte de Clermont — de France, une bende de gueules par dessus engrellée.
- Le conte de Montpancier — de France, une bende de gueules en- dentée.
- Le conte de La Marche — de France, une bende de gueules, trois lyons d’argent en la bende.
LES ARMES DE PLUSIEURS CITEZ ET YILLES, DUCHEZ ET CONTES.
- Premièrement. Poloine, phalax5 — d’argent, ung cheval de sa ble harnaisché d’or, ung escuier dessus vestu de sable, tenant une espée en sa main dextre, une large d’asur, une crois d’argent de dans.
- Chippre, phalax — premier, de Jhérusalem, dessoubz de Lisignan, c’est assavoir burellé d’argent et d’asur, ung lyon de gueules coronné d’or et armé de mesmes; l’aultre d’amont, d’or, ung lyon de gueules; l’aultre de bas, de gueules, ung lyon d’or.
- Valence la Grant — escartelé, premier d’asur, VI pains d’argent, ung chief d’or ; le second cartier, de sable, ung chief denté d’argent, ung escu de gueules, une crois d’argent.
- Barselonne, duc — de gueules, à IIII paulx d’or.
- Issoudun — d’argent, trois chevrons de gueules, ung chief d’or.
- Monseigneur Dampière — escartelé, premier de gueules, trois paulx verrez, ung chief d’or; le second cartier de gueules, deux lyons passans.
- Chauvigny — d’argent, Vil fusées de gueules, à VII lambeaux de sable.
- Le conte de Vendosme — escartelé, premier cartier de France ; le second, d’argent; ung chief de gueules, ung lyon rampant d’asur coronné et armé d’or, une bende de pourpre trois lyons d’argent dedans.
- Le duc de Lorraine et le conte de Vaudemont — d’or, une bende de gueules, trois aigles d’argent.
- Le conte de Touars — d’or semé de fleurs de lys d’asur, ung Cartier de gueules.
- Monseigneur de Cursout — de synople, trois fesses d’or.
En armerie toutes estoilles sont planettes, la lune est dicte cornette, pour ses croissans, qui sont ès armes de retenue. Item, en besans et en planettes a nombre en armerie jusques à VIII, et quant il passe, est hors de nombre.
CE SONT LES ARMES DES XVIII ROYS CHRESTIENS.
- Et premièrement: Le roy de Hungrie I — fessé de gueules et d’argent.
- Le roy de Navarre IIe — escartelé, le premier Cartier de gueules, ung escharboucle d’or voirée de sinople; le second cartier de France, une barre coponnée d’argent et de gueules.
- Le roy de Maillorque IIIe6 — pallé d’or et de gueules.
- Le roy d’Escosse IIIIe — d’or, flore contrefloré de gueules, ung lyon rampant de gueules.
- Le roy de Dannemarche Ve — d’or, trois léopars de pourpre.
- Le roy de Yrlande VIe — de sable, ung roy chayré, coronné et veslu d’or, tenant une fleur de lys d’or en sa main.
- Le roy de Cécille VIIe, du vergier de France — en trois paulx, le premier pal, de Jhérusalem, bordé d’or, bendé de gueules, trois aigles d’argent; le second pal, de France, trois lambeaux de gueules dessoubz de bas, et d’asur les deux, semé de crois poinctés d’or; le tiers pal, fessé d’argent et de gueules, et au dessoubz de France, bordé [de] gueules.
- Le roy de Poleyne VIIIe — escartelé, le premier cartier de gueules, trois aigles d’argent; le second cartier de gueules, ung homme à cheval, armé d’argent, tenant une espée d’argent.
- Le roy de Navarre IXe — de gueules, trois coronnes d’or de mesure.
- Le roy d’Espaigne Xe — escartelé, le premier cartier d’argent, ung lyon rampant de pourpre ; le second cartier, de gueules, ung chasteau d’or.
- Le roy de Behaigne XIe — de gueules, ung lyon d’argent à double queue, coronné et armé d’or. Lé roy de Portingal XII’ — d’argent, sinq escutz parties d’asur, crevez et bordez de gueules, semez de chasteaulx d’or à quatre fleurs de lys de sinople des quatre parties.
- L’empereur XIIIe — d’or, ung aigle de sable membre de gueules à deux têtes7.
- Le roy d’Aragon XIVe — pallé d’or et de gueules.
- Le roy- de Frise XVe — d’asur, bendé de trois bendes d’argent, semé de cuers de gueules.
- Le Pape XVIe — de gueules, deux clefz d’argent de mesure.
- Le roy d’Angleterre XVIIe — porte de France, car il est du Vergier de France; de gueules, trois léopars passans d’or.
- Le roy de Chippre XVIIIe — escartelé, premier de Jhérusalem, dessoubz de Lisignan, c’est assavoir burellé et dedans ung lyon de gueules coronné d’or et armé de mesmes; l’aultre d’amont, d’or ung lyon de gueules; l’aultre de bas, de gueules ung lyon d’or.
En toute armerie coronnement doit présider toute armeure et membreure à vray blasonner, et toute armeure doit présider toute membreure ès armes que l’on trouve bestes et oyseaulx. Et les armes doivent estre my-parties.
En toute armerie les lambeaux sont plus nobles que les fesses, les fesses que les bendes, les bendes que les saultoers, les saultoers que les chevrons.
S’ENSUYVENT LES ARMES DES XII PERS DE FRANCE.
- L’arcevesque de Rains. Fait le sacre et le coronne — de France une crois d’argent et sur la poincte une petite crois8 de gueules.
- L’arcevesque de Langres, duc, IIe. Porte le sceptre — de France, ung saultoer de gueules.
- L’évesque de Chaslons, conte, IIIe. Porte le signet — de France, une crosse de gueules dedans.
- Le duc de Bourgoingne. Porte la coronne — bordé de gueules, bendé d’or et d’asur.
- Le duc de Guienne. Porte la banière — de gueules, ung lyon passant d’or.
- Le conte de Flandres. Porte l’épée — d’or, ung léopard rampant de sable armé de gueules.
- L’évesque de Lan, duc, VIIe. Porte la Sainte-Ampolle — de France, une crois d’argent, une crosse dedans de gueules.
- L’évesque de Beauvoys, conte, VIIIe. Porte la cotte d’armes — d’or, une crois de gueules, quatre clefz de mesure de gueules.
- L’évesque de Noyon, conte, IXe. Porte la seincture — de France, deux crosses d’argent.
- Le duc de Normandie Xe Porte la seconde banière — de gueules, deux lyons passant d’or.
- Le conte de Champaigne XIe. Porte l’estendart — d’asur, une bende d’argent à deux cotisses potencées d’or.
- Le conte de Toulouse XIIe. Porte les esperons — de gueules, une croix d’or vuidée, pomellée d’or.
En armerie banières sont plus nobles que estandars. Estandars, en batailles et journées, sont plus nobles que banières ; comphanons9, que panonceaux; panonceaux que banderolles, banderolles que crevechiez, crevechiez que jarretières, jarretières que bagues.
Item, banderolles, crevechiez, jarretières, en journées, joustes et tournois, ne sont que devises, et ne sont poinct enseignes.
- Le duc de Nemours — escartelé de France et my-parti d’argent et de gueules, huit lyons rampans, quatre de sinople à double queue, coronnez d’or et armez de sable, bordez d’argent; et quatre léopars rampans d’or, bordez de gueules, une bende de gueules dedans, trois lyons rampans d’argent armez d’asur.
- Monseigneur de Sainct-Pol, connestable de France — d’argent, ung lyon rampant de gueules à double queue, coronné et armé d’or.
- Le duc de Calabre — de Cécile, mais que les trois lambeaux tiennent les trois peaulx de travers.
- Le Marquis du Pont — de Cécile, mais que les sinq lambeaux tiennent les trois peaulx de travers, de quoy trois lambeaux sont au second pal de France.
- Le duc de Savoye — d’argent, componé de gueules
Toutes armes de roys ou aultres grans seigneurs ou bannereus, en armerie doivent estre plaines et franches, se non qu’il y aye second né, lequel peut et doit avoir quelque différence ès armes de l’ostel duquel il est party. L’aisné les doit porter toutes pures, se non que par succession d’aultre héritaige, par duchié ou conté, par femme il doyve my-party les armes de sondit hostel, en plus hault montant.
Toutes et quantes foiz que tu trouveras en armerie une bende par droitte ligne et en celle aura lyons, peux et dois dire que sont lyons passans.
Quant en armerie trouveras saultoers et ès dits saultoers aura lyons, dois et peux dire que sont lyons manans et non passans.
Quant en armerie trouveras couleur sur couleur, l’armerie est faulse, se non que par prouesse et vaillance lesdites armes ayent esté conquises, par crime, deffault ou blasme de masle ou femelle du Vergier de France, ou toute aultre seigneurie et royaulté. Car lors on peut prendre l’armerie de celluy ou celle par qui le conquestant et combatant a son honneur gardé, et de mort ou blasme l’a livré10. En toute armerie peut avoir abisme, fors que de synople et de métaulx.
Tous roys chrestiens ou aullres peulent (LDDA:sic) avoir bastars, excepté France. Lesquelz pevent porter tiltre et nom de la coronne où sont partis, et doivent de l’apanage de ladite coronne vivre et tenir leur estat, se aultrement par pension ne leur estoit pourveu; portant armes en armerie différentes par bende senestre, ainsi qu’il est de coustume.
Tout bastard royal peut hériter à la coronne par mariage privilégié à succession par femme d’armerie demourée descendant de la coronne, et la femme doit avoir l’honneur de armerie par les armes entre deux my-parties. Doit la femme à la dextre précéder.
Tout gentil homme peut porter aultres armes que les siennes et changer quant il se monte d’ostel et seigneurie par héritière. Et la femme doit porter ses armes pures, et l’homme my parties, selon armerie.
Tout gentil homme bastard ecclésiastique constitué en prélalure et dignité, peut porter en armerie les armes de la où il est party, sans repréhension, ne reprouche.
Tout vray légittime ecclésiastique peut et doit porter les armes de son hostel toutes pures en armerie. S’il veut, peut faire différence.11)
Sequuntur arma decem nationum aurelianensium12
- Et primo: Francia prima corona. Aquitania secunda. Lolhoringia III2. Almania IIIIe. Burgundia Ve. Campania VIe. Normania VIIe. Picardia VIIIe. Turonia IXe. Ecocia decima.
- Francia prima — de mesmes tout pur.
- Aquitania IIe — d’asur, trois coronnes d’or.
- Lothoringia IIIe — d’or, une bende de gueules, trois aigles d’argent.
- Almania IIIIe— d’or, une aigle de sable à deux testes armée de de gueules.
- Burgundia Ve — escartelé de France, une bordure coponée d’argent et de gueules; l’aultre cartier bordé de gueules bendé d’or et d’asur.
- Campania VIe — d’asur, une bende d’argent à deux cotisses potencées d’or.
- Normania VIIe — de gueules, trois lyons rampans d’or.
- Picardia VIIIe — de France, trois lambeaux de gueules à chascun lambeau trois chasteaux d’or.
- Turonia IXe — de gueules, le chief d’asur, trois fleurs de lys d’or.
- Ecocia Xe — d’or, flore, contrefloré de gueules, ung lyon rampant de gueules.
En toute armerie toutes bestes à quatre piedz portent armeures. En armerie tous oyseaux portent membreures et non poinct armeures.
Les griffons en armerie portent armeures et membreures.
Par toutes les Espaignes, les femmes de maisons royalles, par deffault de masles, succèdent par droit et anciens privilèges des rois passez, ès héritaiges de la coronne et portent leurs armes toutes pures comme roynes, el peulent bailler et lever gaiges, quant mestier est, et iceulx combatre. Et peulent bailler toutesfois et quantes- fois que bon leur semblera.
S’ensuivent les ditz et armes des IX femmes dictes et appellées Muses.
- Caliope, la première — porte de synople, une trompette d’argent en bende — Son dit: Jusques aux nues.
- Uranyes IIe — porte de sable ung cerne d’argent, ung compas de masson de mesmes — Son dit: La non pareille.
- Terpsicore IIIe — porte d’argent, ung leut de pourpre — Son dit: Seule y suis.
- Erato IIIIe— porte d’or, une meule de molin de sable — Son dit: J’atens l’heure.
- Polymnia Ve — porte d’asur, unes orgues d’argent — Son dit: Moy mesmes.
- Talia VIe — porte de gueules, une vielle d’or — Son dit: A mon devoir.
- Melpomène VIIe — porte de pourpre, ung cornet d’or — Son dit: Jamais lasse.
- Euterpe VIIIe — porte d’argent, une doulcine de sable — Son dit: Tarit m’est doulx.
- Calio IXe — de sable, ung signe d’argent — Son dit: A la mort chante.
S’ensuyvent les VII ars.
- Grammaire, la première. Une vieille ridée, béguinée, esmantelée — porte de pourpre, une lime d’argent, ung pot de mesmes.
- Logica IIe. Une femme jeune, les crespés13, les bras tous nudz hault recoursez d’une chemise jusques aux piedz, ès mammelles et au nombril troussée — porte de gueules, une serpent volant d’or envelopée d’ung drap d’argent.
- Rethorica IIIe. Une jeune dame, d’ung heaulme et une coronne par-dessus sa teste, ung manteau et une riche cotte vestue, en sa main dextre tenant une espée — porte de synople, deux enfans nudz d’argent soufflant deux trompettes de mesmes.
- Geometria IIIe. Une jeune dame issant d’une nue, tenant en sa main une esquarre pour compasser et mesurer pierres — porte d’argent, une nue d’asur.
- Arismetica Ve. Une femme ancienne, de crevechiefz sa teste affublée, d’une robe longue abillée jusques aux piedz, contant argent — porte de sable, six besans d’argent.
- Musica VIe. Une jeune dame en cheveux bien adornée, d’une fine chemise fine vestue, les bras tous nudz, assise sur ung signe, les jambes entrellées et nudz piedz, unes orgues, ung lehut, et plusieurs aultres inslrumens emprès elle, ung flaiol — porte de synople, deux flaiolz d’argent.
- Philozophica VIIe. Une jeune dame les cheveux pendens, d’ung corset de guerre à escailles, armée d’ung targon, au milieu ung visaige insculpté, tenant en la main senextre, en l’aultre main ung dart ferré et empané — porte de gueules, de dars d’argent de mesure.
- Une jeune dame14 les chevaux pendens, ung chappelet de fleurs par dessus, touchant de la main dextre ung flaiol; de l’aultre main espenchant à ung pot de terre de l’eaue qui sourdoit d’une fontaine, et en ses piedz le firmament — porte d’asur, le firmament d’argent.
Explicit.
- LDDA:Arma decem nationum aurelianensium. Ce titre n’a aucun sens, à moins qu’il ne fasse encore allusion au nom de quelque hérault nommé Orléans. [↩]
- LDDA:En spécifiant les émaux, il faudrait dire: d’argent semé d’hermines de sable. Mais on a toujours dit simplement: d’hermines. [↩]
- LDDA:Lis: le comte de Dunois. [↩]
- LDDA:Lis: le comte de Foix. [↩]
- LDDA:Poloine. On disait encore Poulaine. C’est la Pologne. Quant au mot phalax, nous ne voyons pas ce qu’il peut signifier. A moins que ce ne soit le nom de quel que hérault d’armes, cité ici comme autorité. [↩]
- LDDA:Ce sont les armes d’Aragon. [↩]
- LDDA:On dirait maintenant: d’or à l’aigle éployée de sable, membrée de gueules. [↩]
- LDDA:lis: crosse. [↩]
- LDDA:Lis: gonfanons [↩]
- LDDA:Pour délivré. [↩]
- LDDA:La plupart de ces règles s’accordent assez bien avec les traités spéciaux et accrédités. Par exemple, celui de Scohier. (De l’estat et comportement des armes. [↩]
- LDDA:Arma decem nationum aurelianensium. Ce titre n’a aucun sens, à moins qu’il ne fasse encore allusion au nom de quelque hérault nommé Orléans. [↩]
- LDDA:Supplées cheveux [↩]
- LDDA:Le nom du personnage manque. On voit que c’est la Poésie. [↩]