
Armes:
Deux pals accostées des lettres A et S, chacune de celles-ci sommée et soutenue d’une étoile, le tout enclos dans une couronne de feuilles (sans écu).
Sources du Dr. Loutsch:
(Jules Vannérus: La famille Schramm de Larochette, O.H. 1919, 1920, 1921./M.W.).
Sceau porté par Adam Schramm, bailly de Larochette, 1648, 1654, auteur de la famille qui suit. Il ne s’agit pas à proprement parler d’armoiries, mais d’un emblème personnel.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 722

Armes:
Une grue et sa vigilance accostée de deux tulipes, en chef, accompagnée en pointe d’unmonogramme fait des lettres M, A et R, accosté de deux étoiles, surmontant la date 1602.
Sources du Dr. Loutsch:
(M., d’après un sceau aux Arch. Lux. Sect. Hist.).
Sceau de Jean Mailfer, échevin de Thionville, 20-III-1603.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 541

Armes:
Écartelé, au I une écrevisse, au II un château, au III un coeur percé de deux flèches en sautoir, au IV unmonogramme formé des lettres N.A. R., au-dessus d’une champagne échiquetée.
Sources du Dr. Loutsch:
(S.A.R. III, P. 12/M.W.).
Famille bourgeoise de Luxembourg et d’Echternach.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 602

Armes:
Les lettres A et B jointes, du sommet desquelles monte une vigne à un raisin en pal, une feuille à dextre, et deux vrilles à sénestre.
Sources du Dr. Loutsch:
(Arch. Lux. Sect. Hist., 1990.)
Sceau d’Augustin Bredenus, échevin à Remich, 5 juillet 1600.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 261

Armes:
Parti, au I d’argent à la lettre A de gueules, cantonnée de quatre parallèlogtammes écartelés d’or et de gueules, au II d’azur au compas ouvert d’or accompagné de trois merlettes du même, deux en chef, une en pointe.
Cimier:
Une merlette de l’écu.
Sources du Dr. Loutsch:
(R.de B.).
Famille ayant obtenu reconnaissance de noblesse par le comte de Zeyll le 10 novembre 1774, d’origine italienne, établie en Allemagne au XVIIIe siècle, puis aux Pays-Bas, dit R. de B..
Sont-ce là les armes des Quiriny établies à Luxembourg au XVIIIQ siècle? Je ne saurais l’affirmer, mais c’est vraisemblable, car ils étaient originaires de Malmédy? (voir Ruppert, P. 101).
- En tous cas, l’avocat Quiriny se servait le 3-III-1781 du cachet de son beau-frère Francq (au griffon), (Arch. Lux. Sect. Hist., Archives Cobreville),
- et le 25-II-1792, d’un cachet Écartelé, aux I et IV un crâne, au II une tête et col de boeuf, au III une anille, avec comme
Cimier:
Panifie (même source).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 658