
Armes:
De gueules à l’écusson d’argent posé en abîme, brisé par un semé de mouchetures d’hermines sur le champ.
Sources du Dr. Loutsch:
(Vannérus: Famille de Brandenbourg, A.N.B., 1924, I./S.A.R., S.A.R. I, P. 319, IV, P. 407.)
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 259

Ajoutons, pour être complet, que Jacques-Pierre-Louis Jungers, d’origine luxembourgeoise, obtint en Belgique concession de noblesse le 10-XII-1956, au port des
Armes:
D’azur au chevron d’hermines, accompagné en chef de deux étoiles, en pointe d’un glaive en pal, la pointe en haut, le tout d’or.
Cimier:
Une étoile d’or entre un vol d’azur.
Sources du Dr. Loutsch:
Voir R. de B.).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 466

Armes:
Écartelé:
sur le tout de gueules à trois étoiles d’argent rangées en bande, entre deux cotices du même (Villers ).
Trois casques couronnés.
Cimier:
- Le lion du III, issant et contourné.
- Un buste d’homme habillé du surtout, coiffé d’un bonnet pointu de gueules.
- Un vol à l’antique aux armes du IV.
Supports:
A dextre une licorne d’or, à sénestre un lion d’or (ou deux léopards lionnés au naturel).
Devise:
ACCUEILLANCE DE VILLERS.
Sources du Dr. Loutsch:
(N./R./S.L.).
Titre de marquis avec érection en comté de la terre de Grignoncourt, qui aurait été accordé à cette famille au XVIIe siècle par le roi Philippe IV, roi d’Espagne. Famille éteinte récemment.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 793

Brisure d’un ligne cadet des de Limpach:
Armes:
De sable à la croix ancrée d’or, chargé de 5 mouchetures d’hermines.
Sources du Dr. Loutsch:
(S.A.R. II, P. 358).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 521

Armes:
A trois pals, au chef d’hermines.
Sources du Dr. Loutsch:
(Vannérus op. cit., sceaux de Thibaut 1err, fils de Hugues, 1258, d’Arnould, fils de Thibaut, 1278, et enfin Thibaut fils d’Arnould, en 1301).
On ne sait pourquoi les Mellier ont aussi radicalement changé leurs armes. Sur cette famille, voir Vannérus: op. cit.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 565

Armes:
D’hermines à une hure de sanglier de sable, défendue d’argent.
Casque couronné.
Cimier:
Une hure de sanglier de écu, couronnée d’or.
Supports:
A dextre un Indien couronné, couvert de plumes d’argent et de gueules, armé en sa dextre d’un arc tendu, fiché en terre, ayant un carquois au dos; à sénestre un
sauvage couronné et ceint de feuilles de lierre de sinople, portant sa massue de la sénestre, posée sur l’épaule.
Sources du Dr. Loutsch:
(Vannérus: Documents concernant le fief de Niederwampach, O.H.,1904, P. 126/Arch. Lux. not. Taffler, 1703, no 47: Cachet de Charles de Manchette de Rouelle, écuyer).
Famille de robe, originaire du baillage de Saint-Mihiel, en Barrois, fixée à Wiltz au XVII siècle. Reconnaissance de noblesse par lettres-patentes du 16 décembre 1699. Voir Vannérus, op. cit. et O.H. 1911, P. 262.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 546

Armes:
De gueules au chevron d’argent chargé de trois mouchetures d’hermines, et accompagné de trois annelets aussi d’argent.
Sources du Dr. Loutsch:
(H.A.: Jean-François Le Rond, écuyer /S.A.R. III, P. 266/R.).
Famille liégeoise, une branche fixée au Luxembourg au XVII’ siècle.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 515

Armes:
D’argent à deux palmes de sinople posées en sautoir, cantonnées de quatre mouchetures d’hermines de sable.
Sources du Dr. Loutsch:
(H.L.T./Gourdet).
Ancienne famille lorraine. Alliances luxembourgeoises.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 680

Armes:
De gueules à la fasce d’hermines, accompagnée de trois annelets d’or.
Sources du Dr. Loutsch:
(M./N., verbo Lamorteau).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 496

Armes:
Tiercé en écusson: 1) vairé de pourpre et d’argent, 2) De gueules au signe des chevaliers légionnaires, 3) d’hermines plain.
Bonnet des chevaliers de l’Empire. (Révérend, op. cit./M.W.).
Titre de chevalier d’Empire (et non pas noblesse d’Empire, comme dit M.W., ce qui est un non-sens) le 9 août 1809, pour Nicolas Reuter (1759-1828) Conseiller au Conseil Souverain, Député au Corps législatif, Conseiller de préfecture, puis, en 1816, procureur d’État. Famille de Luxembourg, mais également originaire d’Aix-sur-Cloie, de mème souche que les Reuter de Bofferdange.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 678