
Armes:
Écartelé: aux I et IV d’azur à trois plumes d’autruche posées en bande, aux II et III de gueules semé de fleurs de lis d’argent, au franc-quartier de gueules au lion d’or.
Sources du Dr. Loutsch:
Sources du Dr. Loutsch:
(Limbourg).
Famille d’échevins de Liège, originaire de Marche en Famenne au Luxembourg. Les II et III étant Waroux, famille typiquement liégeoise, on peut admettre que les armes primitives de cette famille sont les I et IV.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 739

Armes:
Écartelé: aux I et IV d’argent à trois plumes d’autruche d’argent (-sic-) mouvant du flanc dextre, aux II et III de gueules semé de fleurs de lis d’argent.
Cimier:
Trois plumes d’autruche sortant du Bourrelet.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 739
Loutschs Quellenangabe fehlt, ist vermutlich (Limbourg).
Silber auf Silber kann nicht sein! Eine Angabe “argent” ist wohl falsch und sollte wohl “azur” lauten. Dargestellt ist hier “d’argent à trois plumes d’autruche d’azur mouvant du flanc dextre,” Kann natürlich auch andersrum sein.

Armes:
D’azur à deux saumons adossés d’or.
Sources du Dr. Loutsch:
(Bibl. Nat. Paris, Ms. Fds. Français, 24921).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 739

Armes:
D’azur à deux poissons (généralement truites) adossés d’argent.
Cimier:
( A.G. A.H./B.L./D.465/P.).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 739

Armes:
Écartelé: aux I et IV d’azur semé de fleurs de lis d’argent, aux II et III d’or à la fasce de gueules chargé d’une étoile d’or et accompagnée de deux macles de gueules.
Sources du Dr. Loutsch:
(B.).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 739

Armes:
Écartelé: aux I et IV d’azur à trois fleurs de lis d’argent, aux II et III d’or à la fasce de gueules chargé d’une étoile d’or et accompagnée de trois rustes de gueules.
Cimier:
Une fleur de lis d’argent, issante.
Sources du Dr. Loutsch:
(Arch. Lux. Sect. Hist. Familles: Bouylle).
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 739

Armes:
Écartelé: aux I et IV une bande, aux II et III une rose.
Cimier:
La rose.
Sources du Dr. Loutsch:
(Arch. Arlon, Guirsch: Cachet de Thomas Souroux, justicier d’Arlon, 11-IX-1679/Arch. Lux. not. Brosius, 1782, no 61: Cachet de Jeanne Souroux, veuve de feu Henri Coquillart, en son vivant gruyer et receveur des domaines de S.M. à Virton et St. Mard, 1-XII-1773).
Famille échevinale d’Arlon au XVIIe siècle, plus tard maîtres de forge à Rodange.
Les armes décrites par M.W. n’ont donc rien à voir avec cette famille. La source qu’il cite, Diderrich, O.H. 1914, pp. 175 et 303, donne une description de plaque de foyer à deux écus acollés, le premier étant certainement Labbaye, et l’auteur supposant le deuxième comme étant Souroux, parce qu’à cette époque vivait Marie-Gabrielle Souroux, épouse de Guillaume Labbaye, chirurgien (et non pas médecin, comme le dit M.W.). Mais il n’était pas le seul Labbaye, ni à Luxembourg, ni ailleurs, et cette attribution est donc erronée.
Zitiert nach (Quelle): A.L. Seite 739